Crédit : MONVOISIN PRODUCTIONS / MOTHER PRODUCTIONS /FTV

Dès demain et pendant plus d’une semaine, le Festival Lumière s’invite dans les salles obscures lyonnaises et dans la rédaction de L’Écornifleur. Durant dix jours, nos journalistes vous font découvrir les coulisses de cet événement au travers d’enquêtes, reportages, vidéos et pour la première fois d’un podcast inédit. 

Contrairement au Festival de Cannes, ou la Mostra de Venise, il ne récompense pas les futurs chefs d’œuvres, mais redonne vie aux films cultes et parfois oubliés. 

Malgré les nouveautés qui sortent chaque semaine sur nos plateformes de streaming bien-aimées et la grisaille de l’automne, les journalistes de L’Écornifleur ont abandonné les plaids tout doux et les tisanes réconfortantes pour ce festival de patrimoine. 

L’occasion de revoir des films qui nous retournent l’estomac comme Django Unchained, qui nous font rire aux éclats comme Astérix et Obélix, qui bousculent nos certitudes, comme Mommy. Plaisirs coupables ou parfaits pour briller en société, ces films sont des histoires qui font partie des nôtres. 

Mais quelle histoire raconte le festival Lumière cette année quand sont mis à l’honneur Isabelle Huppert et Vanessa Paradis, aux côtés d’Alejandro Jodorowsky, réalisateur de génie pour les uns, promoteur de la culture du viol pour les autres ? 

En cet automne 2024, nos journalistes ont écorniflé au café Lumière, sont allés à la rencontre de celles et ceux qui œuvrent, parfois dans l’ombre, au bon déroulement de l’événement, et ont passé en revue les positions ambiguës du Festival Lumière, qui semble imperméable à la vague Metoo.

Avec plusieurs articles par jour, vivez ce festival au rythme de la rédaction de L’Écornifleur. Mais n’oubliez pas d’aller au cinéma entre deux lectures ! 

La Rédaction