Du 15 au 18 octobre, le Festival Lumière accueillait la 7e édition du Marché international du film classique. Objectif affiché : faire du business autour du cinéma classique. Un marché peu connu du grand public, qui n’est d’ailleurs pas convié. L’Écornifleur est allé y faire un tour pour comprendre de quoi il retourne.
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La Nuit du Parrain : 10h au coeur de la mafia italienne
Après des années à devoir avouer honteusement que je n’avais jamais vu Le Parrain, j’ai décidé de mettre un terme à mon ignorance et découvrir la saga des Corleone dans l’ambiance unique de la Nuit Lumière. 9h de projection, bières, cafés et dortoir de fortune, je vous raconte mon expérience.
L’Écornifleur a « conversé » avec le parrain des parrains
L’Écornifleur a « conversé » avec le parrain des parrains. Vendredi 18 octobre Francis Ford Coppola, invité d’honneur du Festival lumière 2019 se livrait en toute sincérité au cours d’une « conversation » avec le public au théâtre des Célestins. L’Écornifleur était dans la salle pour écouter les secrets de cette légende vivante du cinéma du 20e siècle.
Alain Chabat et Astérix enflamment la Halle Tony Garnier
La Halle Tony Garnier accueillait jeudi 16 octobre la projection d' »Astérix et Obélix : mission Cléopâtre » dans le cadre du festival Lumière. Sans doute l’événement le plus attendu de la semaine il a rassemblé autour de 5 000 personnes dans une ambiance déjantée et bon enfant. Alain Chabat, Monica Belluci et Gérard Darmont sont venus saluer les fans avant que l’écran ne laisse place à la plus culte des comédies françaises contemporaines. L’Ecornifleur s’est glissé dans la salle. Reportage.
L’Écornifleur rencontre (brièvement) Jacques Doillon à l’Institut Lumière
Le réalisateur Jacques Doillon (oui, oui le père de Lou Doillon) dévoilait jeudi matin la plaque de cuivre gravée à son nom sur le mur des cinéastes de l’Institut Lumière. L’Écornifleur a profité de l’occasion pour lui poser une question…
Scorsese à l’ère de Netflix : “il y aura toujours le “vrai” cinéma”
The Irishman, dernier film du (grand) Martin Scorsese, a été projeté en avant-première à l’Auditorium hier/ce mardi. Bien qu’il soit considéré comme un sérieux candidat à la course aux Oscars, il ne fera l’objet que d’une série très limitée de projections. Le responsable de cette maigre diffusion en salles obscures ? Netflix, bien sûr. Nous nous sommes rendus à l’Auditorium, pour savoir de quel oeil le public cinéphile du festival voyait ce bouleversement.
« Hollywood a presque toujours caricaturé les Japonais »
Vendredi 18 octobre, à l’Institut Lumière, seront projetés deux documentaires signés Julia et Clara Kuperberg, deux sœurs qui analysent la production hollywoodienne à la lumière des enjeux de société contemporains. « L’ennemi japonais à Hollywood », dernier documentaire en date de ces réalisatrices engagées, dénonce le traitement qui a été fait des Japonais par le cinéma américain. L’occasion également de revenir sur les liens qu’entretiennent cinéma et société aux Etats-Unis, les débats et les polémiques que cela génère là-bas mais aussi ici. Clara Kuperberg a répondu aux questions de L’Ecornifleur.
Quand la musique classique rencontre le cinéma, dans les coulisses d’un ciné-concert
Le Festival Lumière propose chaque année un ciné-concert, événement où se croisent cinéphiles et amoureux de musique classique et qui tient autant du concert classique que de la séance de cinéma. L’Écornifleur s’est glissé dans les coulisses de l’auditorium pour assister à la répétition générale de « La Roue » d’Abel Gance, film sorti en 1923 qui sera présenté au public samedi 19 et dimanche 20 octobre.
Radio Lumière relève le défi du cinéma sans image
Une radio spéciale cinéma, autrement dit, le son sans l’image, c’est le pari fou de Radio Lumière, lancée il y a dix ans. Pour percer les mystères de ce média éphémère du Festival Lumière, L’Écornifleur s’est glissé dans le studio de La Grande Émission, son emblématique rendez-vous live.